Google a inauguré en grandes pompes mardi 6 décembre 2012 ses nouveaux bureaux en plein quartier de l'Europe dans le IXe arrondissement de Paris. Le site comprend un Institut Culturel et un centre de Recherche et Développement représentant plus de 100 millions d'euros d'investissement !

Situé au 8 rue de Londres dans l'ancien hôtel de Vatry au style néo-classique entièrement rénové, le siège du premier "Googleplex" pour la région SEEMA (Europe du Sud, Moyen-Orient et Afrique) va accueillir de 350 personnes aujourd'hui à 500 d'ici deux ans !

Une rubrique supplémentaire a fait son apparition sur la version américaine du moteur de recherche Google. Baptisé Applications, le service affiche des apps mobiles dans les résultats.

Google vient d'ajouter une fonction dans les résultats de son moteur de recherche Google.com. Sur son blog GoogleSystem, la firme indique qu'une section, baptisée Applications, qui n'est pour l'instant disponible que sur la version américaine du moteur, permettra de rechercher exclusivement des applications mobiles.

Pour cela, il faudra cliquer sur «More» dans la barre d'outils de Google, puis sélectionner «Applications » pour obtenir des liens pointant vers le kiosque d'Apple, l'Android Market ou d'autres sites d'applications et de jeux pour Android comme AppBrain ou AndroidZoom.

Ce service était déjà disponible sur la version mobile du moteur de recherche. Aucune date n'a été communiquée pour le lancement officiel.

Le nom du professeur Massimo Marchiori sera peut-être bientôt aussi célèbre que celui de Mark Zuckerberg ou Steve Jobs. Celui qui fût à l’origine de l’algorithme de recherche de Google veut créer une nouvelle solution décrite comme révolutionnaire.

Ce scientifique italien envisage de lancer son propre outil de recherche avant la fin de l’année.

Professeur à l’université de Padoue, Massimo Marchiori a révélé ses ambitions sur son site. Dans une vidéo, il y explique que ce qu’il développe n’est pas une copie de Google un peu plus rapide, mais un outil totalement différent. Il décrit sa découverte comme «une vision radicalement différente de ce que seront les outils de recherche dans le futur».

Tout cela reste un peu mystérieux, mais le site permet aux visiteurs de s’inscrire pour devenir un testeur de la version beta. Le site d’accueil existe en 12 langues.

Si Marchiori refuse pour l’instant d’entrer dans les détails de son site Volunia, c’est par crainte que Google ne confie un projet identique à une équipe de 100 ingénieurs qui travailleraient jours et nuit pour concrétiser l’idée avant eux.

Tout cela fait un peu mystérieux, mais Marchiori n’est pas un petit farfelu. Il est membre de nombreux organismes internationaux du Web dont le Consortium WWW. Et c’est un algorithme de recherche créé par lui en 1996 qui fait partie intégrante de l’actuel Google.

Cette fois, Marchiori s’est entouré d’anciens étudiants et des fonds financiers ont été levés pour développer le projet. On en saura plus dans moins de 6 semaines. Ceux qui le désirent peuvent s’inscrire sur la page d’accueil de Volunia pour faire partie des testeurs de la prochaine version beta.

source : Digimedia

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